Saisi par les autorités, Coco a subi les pires atrocités (surement par des expatriés qui l’ont utilisé comme « animal de compagnie » avant de l’abandonner dans la ville à leur départ du pays).

Battu, touché de plusieurs balles, pattes fracturées, il est arrivé terrorisé au camp de Yapo-Abbé. Aprés un énorme travail de réhabilitation de nos équipes, il sort dorénavant en brousse et se pavane dans les arbres.